RSE Reporting
CSRD Reporting RSE

Optez pour une CSRD en mode agile !

La CSRD vient d’être transposée. Les entreprises soumises vont graduellement la mettre en œuvre, dès le 1er janvier 2024 pour les entreprises qui sont soumises à la DPEF, dès le 1er janvier 2025 pour les nouvelles entreprises assujetties. Il s’agira pour beaucoup d’entre elles d’un véritable défi, tant en termes de moyens humains, technologiques et financiers, qu’en termes d’organisation à mettre en place. L’ambition de la CSRD est d’engager les entreprises sur le chemin de la durabilité, d’adopter un modèle d’affaires durable, contributif à la transition écologique et sociale. L’enjeu, est d’en faciliter la mise en œuvre ; pour y arriver, le mode agile nous apparait comme la meilleure approche à adopter.

CSRD en mode agile

Soyons clairs, cette plongée dans la durabilité est pour beaucoup d’entreprises une véritable plongée dans l’inconnu. Il faudra demain collecter des données et des informations très nombreuses, sur des sujets extrêmement variés, le tout déterminé par une analyse de double matérialité qui pour la grande majorité des entreprises constituera un exercice totalement nouveau.

 

La CSRD en mode séquentiel

Dans une approche séquentielle classique de la CSRD, les entreprises vont donc commencer par l’analyse de double matérialité, base de la CSRD, exercice stratégique et prospectif, qui nécessite la plus grande robustesse. Cela va prendre plusieurs mois. Puis, il faudra procéder à une analyse de gap et identifier les indicateurs à collecter, à analyser, à piloter, à auditer puis à publier. Sachant que chaque étape devra être terminée avant de commencer la suivante.
Cette approche séquentielle comporte plusieurs risques :

  • un risque de dérapage du planning, avec un véritable goulot d’étranglement de tâches et de services et interlocuteurs à associer d’ici la fin 2024, pour être en capacité d’avoir une année entière de données en 2025 ;
  • un risque de dérapage des coûts, avec un ajout de prestations externes pour tenir le planning ;
  • enfin, pas de « droit à l’erreur », les données auditées et publiées seront le premier jeu de données remontées via ce process. L’entreprise sera jugée par l’ensemble de ses parties prenantes sur cette base.

 

La CSRD en mode agile

Pour éviter que la mise en œuvre de la CSRD se transforme en une inextricable épreuve, nous proposons chez Tennaxia, une approche simple, efficace et intégrée. Elle est inspirée de la méthode agile et se résume en 3 grandes phases : Test, Learn, Improve.

La CSRD en mode agile, permet de répondre à un constat lui-même assez simple, basé sur nos années d’accompagnement stratégique et opérationnel sur les sujets de reporting et de pilotage extra-financier : les entreprises ont toujours besoin de réajuster, compléter, modifier des éléments dans leur reporting, pour différentes raisons. Les données ne sont pas aussi simples à obtenir qu’on l’imaginait, elles ne sont pas disponibles sur tous les sites, ni même aux mêmes endroits de l’entreprise, leur qualité est variable, la fréquence de collecte choisie n’est pas la bonne, le process de validation n’est pas le bon…

Voilà pourquoi nous proposons un accompagnement progressif, qui intègre dès le départ les réflexions à mener (dont l’analyse de double-matérialité), la courbe d’apprentissage des process et les réajustements. Il permet d’adresser la complexité du sujet grâce à l’accompagnement de nos équipes et la mise en œuvre opérationnelle et progressive de notre plateforme SaaS.

Notre conviction : commencer à travailler, tout de suite, avec l’existant et l’incontournable, c’est-à-dire les indicateurs déjà pilotés par l’entreprise et les ESRS incontournables. Cet ensemble sera le socle du démarrage du projet, la phase de test. Il va permettre de voir, à une échelle plus réduite et moins lourde de conséquences que celle de la totalité de la CSRD, où sont points forts et les axes d’amélioration, pour pouvoir agir et corriger.

On peut même imaginer solliciter l’avis de l’auditeur et valider les grandes lignes de sa démarche à cette étape. Il faut compter environ 3 mois entre le démarrage du projet et le début de la collecte. Cette première collecte se terminera à la fin de l’année 2024.

En parallèle, procéder à l’analyse de double matérialité pour, in fine, déterminer les sujets matériels pour l’entreprise et donc tous ceux qui seront le socle de la transformation du modèle de l’entreprise et qui feront l’objet du reporting de durabilité. L’initialiser en parallèle d’une première collecte permet d’éviter un éventuel goulot d’étranglement du calendrier. Il faut compter entre 4 et 6 mois pour cette étape en fonction de la taille et de la complexité de l’organisation.

Les enseignements de la première collecte, la phase Learn, vont permettre d’intégrer les améliorations et ajustements à la deuxième collecte (qui se déroulera en 2025).

Dès lors, on repassera par une phase de paramétrage bien plus courte que la phase initiale de lancement de projet pour ajuster le protocole et intégrer les indicateurs issus de l’analyse de double matérialité. Les équipes seront déjà familiarisées avec les outils et les process.

Cette deuxième collecte optimisée constitue la phase Improve, et cela à tous les niveaux : robustesse des process, fiabilité des données…

Forts de notre expertise depuis plus de 10 ans en matière de reporting de durabilité et disposant d’une plateforme SaaS à la fois robuste, toujours plus innovante et qui intègre désormais les ESRS, notre ambition est d’accompagner en toute sécurité nos clients vers la conformité réglementaire et plus de durabilité.

Notre approche est un chemin balisé pour parvenir à l’objectif, efficacement et sereinement.

Bernard Fort
CEO de Tennaxia

Bernard Fort, CEO de Tennaxia

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